in
may days, 2012.
– l'essai
#3 –
un
travail en images
à
la limite de la danse contemporaine, du théâtre physique et des
arts plastiques
«
Comme tout s'arrange, c'est la patience qui fait ça, c'est le temps
qui passe, c'est la terre qui tourne qui fait ça, qui fait que la
terre ne tourne plus, que le temps ne passe plus […] il n'y a qu'à
attendre, sans rien faire, ça ne sert à rien, sans rien comprendre,
ça n'avance à rien […].
dans
le silence on ne sait pas, il faut continuer. » (Beckett)
in
may days, 2012, c'est
tenter de se positionner dans un champ de tension. C’est-à-dire ne
pas se positionner. Cherche à épuiser la possibilité du
positionnement ; à repousser encore les limites de tout
positionnement ; surtout, à ne pas se faire assigner une place,
ni d’un côté du possible, ni de l'impossible. Tordre les
possibles, c’est peut-être possible. Par un arrangement permanent,
avec la patience, un mouvement qu'on aimerait perpétuel au milieu
des contraires. Que d'ambition, dira-t-on. Ce à quoi on ne pourra
pas répondre grand-chose pour se défendre.
Mise
en scène : Konrad Kaniuk
De
et avec : Alban Dussin, Chawki Derbel et Sébastien
Hoen-Mondin
Dramaturgie : Lea Helmstädter
Dramaturgie : Lea Helmstädter
Décors :
Gabriella Rioux et Lise Foujanet
Lumière : Julie Lorant
Musique : Sebastian Schneiders
Lumière : Julie Lorant
Musique : Sebastian Schneiders
Image
de Traduction : Alphonse Clarou
Photographie et Graphisme : Hugo Latorre
Ochoa
Une production de: Ville de Lyon | ENS de Lyon | ENScène
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